La chaudière électrique à ionisation constitue un ensemble de dispositifs innovant qui présente un rendement invraisemblable par rapport aux autres types de chauffage. Elle représente une avancée technologique incontournable. Mais elle reçoit des critiques qui remettent en question son usage. Vous verrez plus d’informations dans cet article.
De quoi s’agit-il ?
Au sens strict, le principe de l’ionisation correspond à la transformation des atomes et des molécules en ions. Ce processus consiste à ôter ou à joindre des électrons des composés chimiques.
Le chauffage par ionisation se repose sur l’effet Joule. Le déplacement des électrons produit l’échauffement de l’eau qui circule directement dans le système. Ce transport hydraulique le différencie des autres chaudières électriques. On ne requiert point l’utilisation des résistances pour chauffer l’eau.
Son fonctionnement
Lorsque l’eau se chauffe par l’intermédiaire de l’ionisation, le circuit électrique augmente la vitesse de projection des électrons. L’abrasion de ces dernières avec les éléments chimiques de l’eau produit de la chaleur.
La chaudière électrique à ionisation possède généralement deux circuits pour effectuer ce procédé. Le premier favorise la friction tandis que le deuxième accumule l’énergie pour produire de l’eau chaude sanitaire.
Ses avantages
La chaudière à ionisation possède une structure robuste qui se divise en deux conteneurs. Sa ténacité lui garantit une durée d’emploi de 5 à 10 ans. Les matériaux recyclables qui les composent, leur permettent de favoriser l’écologie.
L’agencement de ses chambres ne nécessite pas d’aire pour supporter la combustion. Elle impose un faible encombrement pour accroître ses performances. De plus, elle possède diverses aérations pour stabiliser la température.
Ses inconvénients
Le premier inconvénient à l’emploi d’une chaudière à ionisation demeure le prix qui peut atteindre jusqu’à 10 000 €.
Ensuite, elle ne fournit pas d’énergie renouvelable puisqu’elle s’alimente à l’électricité. De ce fait, vous n’obtiendrez aucune compensation de la part de l’État.